Soins Non Programmés en Officine

Dans son rapport « Assurer le premier accès aux soins - Organiser les soins non programmés dans les territoires »1, Thomas Mesnier affirme qu’il est impératif, de façon générale, mais tout particulièrement dans le cas des soins non programmés, de dégager du temps médical utile, en encourageant beaucoup plus résolument qu’aujourd’hui le partage de tâches entre médecins et autres professions de santé (infirmiers, kinésithérapeutes, pharmaciens). Le pharmacien, en collaboration avec les autres professionnels de santé, est un acteur essentiel de la prise en charge des demandes de soins non programmées.

Dans son rapport « Assurer le premier accès aux soins - Organiser les soins non programmés dans les territoires »1, Thomas Mesnier affirme qu’il est impératif, de façon générale, mais tout particulièrement dans le cas des soins non programmés, de dégager du temps médical utile, en encourageant beaucoup plus résolument qu’aujourd’hui le partage de tâches entre médecins et autres professions de santé
(infirmiers, kinésithérapeutes, pharmaciens).

Le pharmacien, en collaboration avec les autres professionnels de santé, est un acteur essentiel de la prise en charge des demandes de soins non programmées.
Ces demandes en officines ne sont actuellement pas ou peu évaluées2 autant qualitativement que quantitativement. C’est pourquoi, l’URPS Pharmaciens Grand Est s’engage dans une ENQUETE SUR LES DEMANDES DE SOINS NON PROGRAMMEES EN OFFICINE dans la région Grand Est, avec le soutien méthodologique et financier de l’ARS et Tous Pour La Santé. 

Nous avons besoin de vous pour la réussite de cette étude.
Cette enquête à laquelle chaque officine du Grand Est est invitée à participer, sera déployée sur la
région à partir du
19 novembre 2020 pour une durée de 6 mois.

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